mercredi 19 novembre 2008

Eli PaperBoy Reed & The True Loves



J'ai eu cette semaine l'idée d'aller faire un tour dans mes petites archives et j'ai deux explications possibles: ce blog est tenus par plusieurs personne ou je suis tout simplement schizo. Je vous laisse le soins de choisir, en connaissance de cause, la plus plausible des explications.
Continuons dans ce manque total de cohérence avec Eli notre bon vieux Eli (genre on était ensemble à la maternelle alors que nan ) découvert dans les coups de cœur d'un magazine de....mode qui s'avèrent parfois plus efficaces en ce qui concerne les découvertes musicales que la presse musicale elle même qui je l'avoue est submergée mais il s'agit d'un long débats dans lequel je ne suis pas prête de ma lancer vu l'heure avançant à une vitesse inquiétante (et je n'en ai gravement que très peu envie).
Il se trouve que l'homme se produit avec son groupe sur le plateau de l'album de la semaine. Un show musical dans le sens brut du terme, où l'on a affaire à de vrais musiciens. Des types que votre père aimerait que vous aduliez plutôt qu'un rockeur aux allures pseudo négligée qui a toujours l'air de sortir de soirée et dont les clichés jonchent, au grand désespoir des autorités parentales, le papier peint jaune canaris de votre chambre et surtout dont la vue désespère chaque jour un peu plus vos parents sur votre cas.
Le temps de quelques titres le plateau prend des air de One Shot Not. On sait pourquoi on est là et on obtient bien plus que ce pour quoi on était venu car le concert aurait très bien pu être chiant. Beaucoup de personnes ont en joué et usé mais tous n'arrivent pas à trouver la force et l'énergie nécessaire pour capter l'auditoire déjà conquis. Il vous laisse vide (" I gonna getcha"). Le genre de vide qu'on a l'habitude de ressentir après un bon rock garage en live mais cette fois le pogo en moins.
Un coups de cœur assez inattendu...

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